NUMERO 1

- Le Courrier de Mantes, 17 décembre 2003


- Paris-Mantes-Poissy, 31 décembre 2003/1er janvier 2004 - (page 3)


- La Quinzaine Littéraire, 1er au 15 février 2004, article de Bertrand Leclair - (page 2)

"[...] Si on lit avec curiosité la présentation de la revue par Amaury Nauroy, ou le court texte qu'en seconde partie il consacre à sa conception de l'exercice critique, ce 1er numéro dont le dossier principal est dévolu à Philippe Jaccottet n'en est pas moins fort d'un sommaire conséquent et riche. [...]"

- Libération, 12 février 2004, article dans "Vient de paraître", dossier "Livres" - (page IV)


- La Croix, 4 mars 2004, article dans le "Marque page" du cahier "Livres et idées", par Nathalie Crom - (page VI)

"[...] Nouvelle venue dans le riche paysage des revues littéraires, Tra-jectoires consacre son 1er numéro à Philippe Jaccottet, l'une des voix les plus attachantes de la création poétique contemporaine française. [...]"

- Le Monde, 5 mars 2004, Entre-filet par Patrick Kéchichian - (page 29)

"[...] Parmi les contributions de ce dossier, citons celle d'Olivier Barbarant, qui insiste notamment sur la place de l'image et sur la fragilité de la démarche de Jaccottet : "Minceur de l'assise, faiblesse des moyens, certitude de ne valoir que par là où les choses échappent" [...]"

- La Revue des revues, mars 2004, article d'Alain Paire dans la "Revue des revues" n°34 - (page 141-142)

"[...] Tra-jectoires s'est préoccupé de frayer sans complexe ni prévention la voie en direction d'une oeuvre dont la découverte continue de se faire progressivement. [...]"

- Les Vitrines, mars 2004, Présentation de la revue par la librairie Compagnie

"[...] « Trajectoires » est une naissance, une naissance à la poésie tout d'abord, mais aussi, la naissance d'une revue, qui dès son premier numéro assimile le bruissement des mots, l'hésitation du poète, et transforme cette apparente fragilité en partage. Organisée autour d'un auteur, la revue se propose de décliner témoignages, lectures et commentaires, dans le but « d'esquisser la figure de l'écrivain ». Sans complaisance, il ne s'agit pas d'un simple hommage, l'auteur est invité également à offrir un peu de ses mots, de son univers, à offrir la possibilité d'un regard sur son parcours et sur son oeuvre. Consacré à Philippe Jaccottet, le premier dossier de la revue ne se veut ni exhaustif ni redondant, il nous permet juste d'appréhender une émotion, un désir pour les mots, ceux du lecteur et ceux du poète, une expérience poétique partagée qui nécessite et justifie à elle-seule cette naissance de « Tra-jectoires ». [...]"

- Ecrire et éditer, avril-mai 2004, "Les Tra-jectoires de Jaccottet" par Pauline Morfouace

"[...] Amaury Nauroy vient de créer un semestriel, Tra-jectoires, dont le fond et la forme témoignent d'une maturité qui pourrait vexer les vieux brisquards occupés à "fanziner" dans leur coin. [...]"

- Notons aussi que la revue a été présentée courant février dans l'émission « Vol de nuit » animée par PPDA.


NUMERO 2

- Monde et vie, 6 janvier 2005, No 741 , article de Jean-Luc Maxence "Jean Pierre Lemaire et la spiritualité catholique"

"[...] La seconde livraison de Tra-jectoires [...] consacrée à Jean-Pierre Lemaire et Jules Supervielle pose avec à propos la question de la présence parmi nous de ce que Pierre Oster nomme "la souche chrétienne" en poésie. [...]"

- Le Matricule des Anges, février 2005, No 60

"[...] Après Philippe Jaccottet, Tra-jectoires met à l'honneur Jean-Pierre Lemaire des Marges du jour (1981) à L'Intérieur du monde (2002), la revue interroge cette voix qui se fait prière, cette poésie comme lieu constant de recherche spirituelle. [...]"

- Article sur le Blog du site internet Lupourvous , 3 fevrier 2005

- Les revues Tra-jectoires No 1 & 2 ont été présentées à la librairie La Réserve (Mantes la jolie)
lors d'une soirée de lecture en présence de Lionel Ray le jeudi 17 février 2005 à 20h45.


- Aujourd'hui Poème, mars 2005, No 59

"[...] Nul ne peut en douter, après l'avoir lue, cette revue fera le parcours qu'elle est en droit de s'imposer. L'entreprise d'Amaury Nauroy est celle d'un homme d'une grande conscience professionnelle, doué d'intuition et d'une remarquable finesse critique. [...] Très important le dossier de Lemaire ne comporte pas moins de 150 pages [...] Un excellent entretien avec Olivier Gallet. Le dossier Supervielle est de moitié plus court, on y lit l'une de ces "rencontres" dont Richard Rognet a l'élégante maîtrise. [...] Fascinantes les lettres que Supervielle écrivit à Jaccottet, Vigée, Bosquet. Un conseil : gardez ce livre dans votre bibliothèque. [...]"

- Cité par Françoise Estèbe dans l’émission « Une vie, une œuvre », Jules Supervielle (1884-1960) :
L’Homme qui pensait à autre chose, France Culture, dimanche 29 avril 2007.


NUMERO 3

- Acta Fabula , janvier-février 2007, vol. 8, n°1. Article d'Elise Hugueny-Léger, « Une quête désespérée du réel »

    Dans l’éditorial du premier numéro de Tra-jectoires, Amaury Nauroy, le fondateur de la revue, décrivait en ces termes les caractéristiques de cette publication : « Par la constitution de dossiers critiques, je souhaite que cette nouvelle revue rende hommage — pour le temps où elle vivra — à quelques belles œuvres françaises contemporaines. […] Cette revue ne s’adresse pas en priorité aux spécialistes de littérature dont la précision analytique, la pertinence des raisonnements m’effraient. […] Tra-jectoires est donc adressée à ceux qui aiment la poésie, et dont son « inutilité même est ce qui la leur rend parfois si chère ».
    Le numéro 3 de la revue, consacré à Annie Ernaux (née en 1940) et Albert Memmi (né en 1920), remplit parfaitement ces objectifs. Par la diversité et l’originalité de ses approches, Tra-jectoires 3 ne ressemble pas en effet aux revues littéraires traditionnelles. Le lecteur est amené à cheminer à son propre rythme parmi les essais critiques, textes inédits ou originaux, hommages, et, s’il le souhaite, à poursuivre son exploration grâce à la précieuse bio-bibliographie située à la fin de chaque dossier. Il peut également (re)découvrir des auteurs dont des textes sont rassemblés dans le « Cahier de création ».
    Ce numéro propose une fascinante approche de l’œuvre d’Ernaux, encore trop peu étudiée dans le milieu universitaire français en comparaison avec l’engouement qu’elle suscite au Royaume-Uni et en Amérique du nord. Le dossier s’ouvre par des lettres d’encouragement de Simone de Beauvoir à Ernaux, ainsi que des entrées du journal d’Henry Bauchau qui se lisent comme des hommages à l’écriture d’Ernaux. D’emblée, le ton est donné : loin des discours parfois arides des critiques, ce dossier propose d’entrevoir les différents aspects de la réception d’Ernaux, que cette réception soit synonyme d’identification, émotion ou désir d’explication.[…]
    L’originalité de Tra-jectoires réside dans sa diversité et sa grande liberté : outre des études critiques d’universitaires, la revue donne également la parole aux auteurs eux-mêmes à partir de supports variés (extraits de leur œuvre, lettres, journal intime, articles), tout en à laissant la place à d’autres écrivains et à leur propre réception de l’œuvre. En rassemblant des écrits inédits ou publiés dans des revues spécialisées, ce numéro a en outre l’immense mérite de proposer des textes dont l’accès serait autrement très difficile. Cette polyphonie a plusieurs atouts : d’une part, elle montre les différentes facettes du processus d’écriture (création et réception), et d’autre part, elle donne une place active au lecteur. Enfin, la liberté qui caractérise cette revue fait figure d’hommage aux écrivains qu’elle évoque.
    Dominique Barbéris souligne que chez Ernaux, la « technique de juxtaposition invite à penser ». Et c’est exactement ce que propose ce numéro de Tra-jectoires : c’est dans la juxtaposition des voix, des études et des articles que se dégage une cohérence, non seulement au sein de chaque dossier, mais aussi dans le choix des auteurs, Annie Ernaux et Albert Memmi. C’est également par cette pratique du fragment que la revue retiendra ceux qui aiment la poésie.

- Matricule des Anges, novembre-décembre 2006, n°078

     Trajectoires entame sa troisième année d'existence. Et son tout jeune directeur (24 ans au compteur) Amaury Nauroy, dont l'énergie ne faiblit pas, entend bien continuer ses incursions dans la littérature contemporaine. Après Philippe Jacottet en 2003, Jean-Pierre Lemaire et Jean Supervielle en 2004, cette livraison-ci réunit cette fois Annie Ernaux et Albert Memmi. Si ces deux-là partagent le même sommaire, ils ne participent cependant pas du même univers. Encore que la chose, à bien regarder les contributions, n'est pas si sûre. Certes ils n'appartiennent pas à la même génération (Ernaux est née en 1940, Memmi est son aîné de vingt ans) ; certes ils n'ont ni le même style ni la même inspiration, et pourtant quelque chose les rapproche.Où donc alors se situerait leur terrain d'entente ? En cela que chez eux l'écriture vise principalement, quoique diversement on l'a dit, à interroger la notion d'identité. Et si chaque personnalité s'affirme et s'exprime à travers le mode d'expression qui lui est propre, l'identité est cette réalité problématique qui, n'allant pas de soi demande à tous moments à être mise en mots. C'est-à-dire mise à nu, en scène et en ordre. Ce sera chez Ernaux une remise en cause à caractère sociologique ; ce sera plutôt, chez Memmi, un questionnement d'ordre plus historique. Mais ici comme là, autre point commun encore, la biographie sera matière première à réflexion. Parce que consciencieuse et pertinente, cette excellente revue constitue un peu plus à chaque numéro un rendez-vous annuel à ne surtout pas manquer.

- Recension dans Canada-Maghreb centre Bulletin, vol. 1, n°2, décembre 2006

- Recension dans Histoires littéraires, 2007


NUMERO 4

- Article dans La liberté, 12 juillet 2008